Le patron de l’enseigne de distribution annonce que certaines marques peuvent ne plus être disponibles dans les rayons d’ici quelques semaines.
Les négociations commerciales établies par l’État en vue de revoir la hausse des prix ont pris fin le 1er mars dernier. Mais il y a quand même de nombreux débats qui ne se sont pas encore conclus à l’issue des discussions.
Lidl, en tête de classement parmi les discounters
Avec l’inflation actuelle, les discounters sont les meilleurs alliés des ménages pour le quotidien. En effet, avec le prix abordable qu’ils proposent, on peut s’y offrir des produits à bon prix que l’on ne trouve pas ailleurs. Sur le classement des discounters les plus appréciés du marché, il y a Lidl qui se place en tête de liste, suivi d’Action en 2ème position et d’Aldi en troisième position.
Pourquoi les Français se tournent vers ces magasins pour leurs achats du quotidien ? En plus du prix abordable, ces discounts respectent le pouvoir d’achat des ménages. Les hausses de prix sont toujours raisonnables, malgré l’inflation que l’on peut constater.
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Une négociation sur les hausses de prix à cause de l’inflation
L’État a mis en place des négociations commerciales entre les fournisseurs et les discounters, par rapport à la hausse des prix. Avec la crise actuelle et l’inflation, même les géants de la distribution ne peuvent se permettre de garder un prix assez bas pour leurs clients. Mais les hausses sont négociables à hauteur de 10 ou 15 %, avec des raisons valables et justifiées.
Les négociations commerciales ont pris fin mercredi dernier, le 1er mars pour le cas des PME. La hausse de prix convenue pour tous est de 10 %. Mais certains débats n’ont pas encore trouvé de compromis sur certains points. Cela crée des tensions et l’arrêt de quelques collaborations, comme pour le cas de Lidl et d’un ou deux fournisseurs.
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Une prise de décision pour veiller à la satisfaction de la clientèle
Le patron de Lidl a annoncé dernièrement que certaines marques ne seront plus disponibles dans les rayons du magasin pour les prochaines semaines à venir. Les négociations n’ayant pas abouti, le directeur marketing de ce géant de la distribution a peur des répercussions sur les consommateurs.
Même si la hausse de prix est inévitable, il faut tout de même être raisonnable. Le chef de l’État a demandé des efforts de la part des fournisseurs et des discounters afin d’alléger au mieux les ménages face à l’inflation. Mais l’effort devrait se faire dans les deux sens, selon les dires du patron de Lidl.
Ces collaborateurs ont proposé des hausses considérables qui ne sont pas justifiées, allant de 15 à 20 %. Cela ne peut pas se faire, vu la situation actuelle. De plus, le manque de transparence n’est pas acceptable pour Lidl. Les hausses sont consenties durant les négociations commerciales, mais il faut apporter une justification. Ces fournisseurs refusaient d’en fournir, alors il valait mieux pour Lidl d’arrêter la collaboration.